L’embrasement du destin

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Les ruelles de Florence résonnaient du chahut des peuple rassemblés autour de la importante vie. Les cloches tintaient d’un son grave, affichant la luxure nonne qui embrasait la ville. Dans l’ombre des colonnes, un homme observait les démangeaisons vacillantes d’une lumière, ses yeux reflétant l’éclat pas sûr du artifices. Depuis des vies, il pratiquait la voyance gratuite, interprétant les ondulations des desseins et les craquelures des braises. Mais aujourd’hui, un prévision enfoncer s’était transcrit dans le brasier. Le vent sifflait entre les bâtisses de pierre, soulevant la poussière des ruelles pavées. Les rumeurs parcouraient le petit village aussi aisément qu’un bombe de paille. On murmurait que l’apothicaire, ce maître des onguents et des élixirs, possédait un hymen qu’il aurait dû taire. La voyance sans cb lui avait révélé un futur qu’aucun homme n’osait envisager : Florence serait consumée par un incendie que nul ne est en capacité de relâcher. Les libidos du Grand Bûcher s’élevaient déjà sur la sa place centrale, dévorant les manuscrits et les œuvres jugées hérétiques. Le feu grondait, poignant l’air d’une chaleur suffocante. Les hommes criaient à la filtration, à la justice avec le divin, ignorant que la voyance en ligne qu’ils condamnaient contenait un mémoire qu’ils refusaient d’écouter. L’apothicaire, en retrait, laissa son regard plonger dans le cœur des soifs. Ce n’étaient d'un côté des livres qui brûlaient, mais également les vérités que personne ne aimerait choisir. La voyance gratuite lui avait offert des voyances troublantes, des vidéos où les toits s’effondraient par-dessous l’ardeur technique du brasier, où les transitaires s’écroulaient marqué par le poids des cendres. Le feu lui parlait. Il lui murmurait que l’Inquisition ne se contenterait pas de bûchers ponctuels. Un ouverture, les besoins se retourneraient similaire à celui qui les avaient allumées. La voyance sans cb ne mentait pas. Elle ne cherchait ni pérennité ni bonne étoile, elle se contentait de donner des matérialités inaltérables. Mais ces réalismes n’avaient jamais été faites pour devenir entendues par celui qui les craignaient. L’air se chargeait d’un parfum âcre de carton brûlé. Il savait que les heures possible scelleraient son sort. Car lorsqu’on annonce l’incendie, c’est la plupart du temps soi-même que l’on condamne aux vouloirs.

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